Entre amour et Enfer
Aux éditions Édilivre - 2012
Format semi poche et numérique à partir de 17€
Quatrième de couverture :
Sarah Dupont, une jeune lycéenne récemment orpheline découvre la magie du monde à LaBaroche, un petit village loin de la capitale parisienne.
L'imaginaire devient progressivement réalité, et Sarah est vite dépassée par les évènements, elle apprend ainsi un des plus grands secrets de l'univers: l'existence des vampires.
Mon livre est écrit du point de vue de Sarah mais certaines pensées du séduisant immortel James succèdent à ces passages, mélangeant ainsi le plaisir de toutes les émotions : douleur, amour, peine, passion, désespoir, espoir. Tout cela dans un univers fantastique qui pourtant semble bien réel, et qui l’est peut-être trop parfois dans ces interdits.
«Le destin est en marche, plus rien ne pourra l’arrêter...»
L'imaginaire devient progressivement réalité, et Sarah est vite dépassée par les évènements, elle apprend ainsi un des plus grands secrets de l'univers: l'existence des vampires.
Mon livre est écrit du point de vue de Sarah mais certaines pensées du séduisant immortel James succèdent à ces passages, mélangeant ainsi le plaisir de toutes les émotions : douleur, amour, peine, passion, désespoir, espoir. Tout cela dans un univers fantastique qui pourtant semble bien réel, et qui l’est peut-être trop parfois dans ces interdits.
«Le destin est en marche, plus rien ne pourra l’arrêter...»
Mon avis :
Sarah, une adolescente de 16 ans vivant en région parisienne, va habiter chez sa tante à LaBaroche, un petit village à l'écart de l'agitation citadine. En effet, Sarah sombre dans une dépression inquiétante depuis le décès de ses parents trois mois plus tôt dans un horrible accident de voiture. Dès son arrivée chez sa tante, dont la maison recèle de souvenirs nostalgiques, la jeune fille a le sentiment d'être observée. Là, quelque part dans la forêt, elle a la conviction que quelqu'un la surveille... veille sur elle. Sarah a toujours eu l'imagination débordante et dans ses rêves, où se mêlent l'indicible douleur d'être désormais orpheline et la crainte d'être totalement ensevelie par le chagrin, un être à part apparaît.
Un matin, Sarah rencontre James chez sa tante... c'est un ado adorable, beau garçon, attentif et très sympathique, mais il est aussi tourmenté, un peu comme elle, quoique... pas totalement comme elle puisqu'il se nourrie de sang et que c'est lui qui la rejoint dans ses rêves pour apaiser ses angoisses.
L'histoire n'est pas dénuée d'intérêt. L'auteure nous dépeint son héroïne, Sarah, comme profondément meurtrie par la disparition tragique de ses parents et qui passe par des moments terribles où elle doute d'elle-même au point de se demander si vivre est encore utile. L'intervention de James va peu à peu permettre à Sarah de trouver un nouveau sens à sa vie, car ces deux-là sont des âmes-sœurs. Hélas, il est interdit aux vampires de s'unir aux humains sous peine de représailles de la part d'une autorité supérieure : Les Suprêmes.
Pire, toute relation suivie et « consommée » entre un vampire et une mortelle peut entraîner la mort de cette dernière. Pourtant, James et Sarah vont y succomber.
Il y a du potentiel dans ce roman, malgré le fait que, n'étant pas très élaboré, le lectorat visé se situe indéniablement entre 14 et 16 ans. Au-delà, le lecteur risque fort de s'ennuyer et de trouver l'intrigue lente et pesante, et certains passages carrément mièvres.
Le roman de Maddy Facchin est donc une gentille histoire de vampires à la Twillight revue et simplifiée (pas de loups-garous ni de peau qui scintille au soleil) que nous pourrions qualifier de rafraîchissante et divertissante à condition de faire abstraction des nombreuses erreurs en tout genre contenues dans son texte et qui nous gâchent la lecture page après page.
Le récit est écrit au présent, exercice de style difficile lorsqu'on maîtrise mal la langue et hélas, l'auteure est tombée dans le piège plus d'une fois. Les fautes s'accumulent. De la ponctuation anarchique à l’utilisation abusive de caractères majuscules totalement inutiles dans un roman, nous faisons aussi une overdose de fautes d'orthographe, de grammaire, de français, de conjugaison, de syntaxe... Bref, se plonger dans le roman est réellement compliqué à ce rythme-là.
Pour clore cette chronique, il faut bien dire que ce roman mériterait une sérieuse révision... autant dans la forme que dans le fond. Ne serait-ce que pour le confort de lecture et le respect du lecteur qui déboursera tout de même plus de 25€ pour le tenir entre ses mains.
Un matin, Sarah rencontre James chez sa tante... c'est un ado adorable, beau garçon, attentif et très sympathique, mais il est aussi tourmenté, un peu comme elle, quoique... pas totalement comme elle puisqu'il se nourrie de sang et que c'est lui qui la rejoint dans ses rêves pour apaiser ses angoisses.
L'histoire n'est pas dénuée d'intérêt. L'auteure nous dépeint son héroïne, Sarah, comme profondément meurtrie par la disparition tragique de ses parents et qui passe par des moments terribles où elle doute d'elle-même au point de se demander si vivre est encore utile. L'intervention de James va peu à peu permettre à Sarah de trouver un nouveau sens à sa vie, car ces deux-là sont des âmes-sœurs. Hélas, il est interdit aux vampires de s'unir aux humains sous peine de représailles de la part d'une autorité supérieure : Les Suprêmes.
Pire, toute relation suivie et « consommée » entre un vampire et une mortelle peut entraîner la mort de cette dernière. Pourtant, James et Sarah vont y succomber.
Il y a du potentiel dans ce roman, malgré le fait que, n'étant pas très élaboré, le lectorat visé se situe indéniablement entre 14 et 16 ans. Au-delà, le lecteur risque fort de s'ennuyer et de trouver l'intrigue lente et pesante, et certains passages carrément mièvres.
Le roman de Maddy Facchin est donc une gentille histoire de vampires à la Twillight revue et simplifiée (pas de loups-garous ni de peau qui scintille au soleil) que nous pourrions qualifier de rafraîchissante et divertissante à condition de faire abstraction des nombreuses erreurs en tout genre contenues dans son texte et qui nous gâchent la lecture page après page.
Le récit est écrit au présent, exercice de style difficile lorsqu'on maîtrise mal la langue et hélas, l'auteure est tombée dans le piège plus d'une fois. Les fautes s'accumulent. De la ponctuation anarchique à l’utilisation abusive de caractères majuscules totalement inutiles dans un roman, nous faisons aussi une overdose de fautes d'orthographe, de grammaire, de français, de conjugaison, de syntaxe... Bref, se plonger dans le roman est réellement compliqué à ce rythme-là.
Pour clore cette chronique, il faut bien dire que ce roman mériterait une sérieuse révision... autant dans la forme que dans le fond. Ne serait-ce que pour le confort de lecture et le respect du lecteur qui déboursera tout de même plus de 25€ pour le tenir entre ses mains.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire